Il nous a fallu des années pour trouver le mécanisme des rackets dans des hôpitaux avec la complicité des SEM ou des régies funéraires.

Racket par famille et par décès : 700€, ce qui représente en 20 ans plusieurs centaines de millions d’euros au détriment des familles en deuils.

La législation funéraire est formelle, toutes opérations funéraires doit être faites par un opérateur habilité. L’hôpital n’est pas habilité et pourtant ce sont les agents hospitaliers qui présentent la demande de transfert de corps et la font signer à la famille comme si cette dernière leur devait quelque chose après la mort d’un être cher, et personne ne me fera croire et encore moins aux tribunaux correctionnels saisis que ces infractions sont gratuites.

Le racket dans les hôpitaux : des centaines de millions d’euros

Ces infractions sont-elles commandées par leurs supérieurs ? L’enquête le démontrera. Le constat que 80% des corps arrivent à la chambre funéraire de la SEM ou de la régie à la suite d’un transfert effectué par les opérateurs de la SEM (ou de la régie) démontre une totale complicité entre ces dernières et les hôpitaux.

Va-t-on un jour en finir avec les séquelles du monopole ?

Et je crois honnête que devant cette fraude on retire immédiatement l’habilitation à la régie ou à la SEM pour complicité de fraude grave.

Enfin, pourra t on m’expliquer l’empressement des agents hospitalier à transférer les corps à une chambre funéraire privée, extérieure à l’hôpital et payante alors que la chambre mortuaire de l’hôpital sur place est gratuite, au risque d’une peine d’emprisonnement de 5 ans et une amende 75 000€.

Personne ! Personne ne m’empêchera de protéger la liberté des familles et leurs intérêts en matière funéraire.

Dans ces hôpitaux rien à changé depuis la fin du monopole, Pourquoi ?!

Nous déposons, ce jour, des plaintes à l’encontre des hôpitaux de Chambéry, de Brest, de Grenoble et de St Brieuc, pour abus de confiance envers les familles en deuil, infraction aux opérations funéraires, téléguidage des familles.

Cette plainte concerne aussi les S.E.M. –Sociétés d’Economies Mixtes- ou régies attenantes, pour complicité-.

A ce délit, viendra s’ajouter la violation de la liberté funéraire.

Les faits et preuves sont concrets et précis pour chaque hôpital et sont tous contraire à l’intérêt des familles en deuil qui subissent ces infractions à la Loi.

Ce sont des dizaines de milliers de familles qui, depuis 25 ans, subissent le refus de ces hôpitaux et de ces S.E.M. ou régies, d’appliquer la loi de la liberté funéraire que nous avons acquise en 1986.

Nous en informons les Ministères de la Justice, de la Santé, ainsi que la Direction des Hôpitaux.

 

Une plainte est déposé

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